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Au Brésil, les gens de mer ont obtenu gain de cause dans leur long affrontement avec le géant public du pétrole, Petrobras.

L’ITF et son affilié le Maritime Workers’ Union of Nigeria (MWUN) sont à la tête d’une campagne de défense des droits et des emplois des dockers du pays.

Les syndicats ne relâchent pas leur pression sur le gouvernement coréen, face à ses attaques contre les droits des travailleurs. Ainsi, deux délégations internationales se rendent dans ce pays cette semaine.

« A mon retour, je me donne pour mission de motiver et de mobiliser mes camarades. »

Des syndicalistes du monde entier envisagent une approche commune de l’ITF face au modèle Uber-économique caractérisé par « la déréglementation, la déstabilisation et le manque de respect pour les travailleurs », qui se répand de plus en plus dans le secteur des taxis et autres modes des transports.

L’ITF a déclaré devant le Forum économique mondial que les syndicats sont des ‘catalyseurs ’ devant veiller à ce que les travailleurs soient prioritaires dans la transformation numérique de l’industrie.

Le 14 septembre, des syndicalistes sont venus protester au siège de Boskalis, géant néerlandais du transport maritime et de l’énergie, contre les menaces pesant sur les emplois des gens de mer.

Un évènement de collecte de fonds, organisé par le comité des jeunes du syndicat maritime d’Australie (MUA) pour le syndicat général des travailleurs palestiniens des transports (GUTW), a permis de réunir près de 3.500 dollars australiens.

Il est permis d’espérer qu’une étude commanditée entre autres par l’ITF, dont la publication intervient aujourd’hui, entraînera des améliorations sensibles de la santé, de la sécurité et du bien-être des travailleurs dans le secteur mondial des conteneurs.

Une campagne de soutien menée par l’ITF a permis d’obtenir le versement d’arriérés salariaux aux équipages indiens de deux navires abandonnés dans des ports britanniques.